La rage de vaincre
OBJECTIF PREMIÈRE VICTOIRE POUR LES TITANS
Cinquième journée de Nationale 1 ce samedi soir pour nos Titans qui accueillent la redoutable équipe réserve de l’USAM Nîmes Gard. Face à une formation qu’Antibes connaît bien, Zeljko Anic et ses hommes essayeront d’aller chercher un premier succès cette saison devant leur public et de mettre un terme à cette série de quatre défaites consécutives.
QUEL REGARD SUR L’USAM ?
Nîmes est une formation qui connaît un début de saison très positif avec trois victoires. Ces derniers restent sur un succès contre Lyon-Caluire (34-30). Dans leurs rangs, les Gardois comptent des joueurs en devenir de renom comme Baptiste Joblon, Lou Derisbourg, Gueric Vincent et consorts qui font les beaux jours de l’équipe de France Jeune. Ces équipes réserves sont réputées pour courir vite, longtemps et se projeter rapidement vers l’avant. Il faudra se méfier du troisième de cette Poule 5 de Nationale 1. Une belle affiche de gala à la salle Saint-Claude.
UN POINT SUR LE DERNIER MATCH DES TITANS
Samedi dernier Antibes s’est incliné lors de son déplacement à La Crau. Au terme d’une rencontre difficile où les hommes de Zeljko Anic n’ont pas su rentrer dans le match. Des regrets qu’ils voudront à coup sûr transformer en rage sur le terrain pour décrocher la victoire. Malgré les défaites, le groupe est plus soudé que jamais. Après La Crau, chacun a pris la parole dans le bus du retour pour offrir son avis sur ce qui n’allait pas et ce qu’il manquait pour remporter des matchs.
DES ABSENTS CÔTE ANTIBES
Comme depuis quelques semaines déjà, Antibes devra faire sans trois de ses joueurs cadres, Jérémy Bossenauer, Souleymane Sidibé et Thomas Saint-Voirin qui seront encore absents pour une longue période. Il faut rajouter à cela l’absence de Léo Cavalière qui alterne le handball sous les couleurs Antiboises et ses études de kiné en Allemagne. Zeljko devrait à nouveau faire confiance aux jeunes de l’équipe comme Gauthier Schmitt, Valentin Navarre, Romain Chaffaut et compagnie.
(Crédit photo : René Vinci / Par Mickaël Nassieu)